Le phénomène plan cul est dans un tel essor, que la communauté scientifique se penche sur le sujet en lançant des études dans tous les sens.
Une étude anglaise sortie en 2008, y précise que le sentiment des femmes est mitigé, en effet, 50% des femmes disent avoir des remords le lendemain. Après un coup d’un soir ou un plan cul elles se sont senties utilisées.
Alors qu’à l’inverse, 80% des hommes sortent tout à fait satisfait d’un plan cul sans lendemain.
Ceci s’explique, en partie dans l’étude, par le fait que la femme ait besoin inconsciemment de se projeter, un plan cul est pour elle un début de relation sur le long terme, d’où l’effet déceptif au lendemain d’une relation d’un soir.
Une autre étude, américaine celle ci, a essayé d’analyser les relations de type plan cul dans une université, où il est monnaie courante de partager des plaisirs sans engagement. C’est même parfois un rite d’initiation, une sorte de bizutage en somme. Sur un échantillon d’environ 500 étudiants, les scientifiques se sont concentrés sur les réponses des filles particulièrement, il en résulte que 20% des participantes avaient connu au moins un plan cul avec cunnilingus, 25% avec fellation et 25% avec coït vaginal. Ce qui est peu si on compare les résultats d’une précédente étude qui donnait 55% à 60% d’étudiants ayant déjà eu l’occasion d’avoir des plans culs.
Un essayiste français lui, a interviewé des jeunes gens qui s’adonnaient à la pratique du plan cul, des hétérosexuels, comme des homosexuels afin de comprendre l’ethnologie de cette pratique sexuelle. Ce qui ressort de cette étude, est assez fascinant, en interrogeant des personnes tout a fait correctes, CSP+, bonne situation, diplômés et sans déviance quelle quelle soit. L’essayiste nous explique que le plan cul met l’individu en contradiction et en confrontation directe avec les bonnes moeurs. Il compare le plan cul à du travail au noir ou a une fraude fiscale. C’est l’interdit qui est excitant, et le fait que pour le commun des mortels c’est mal de s’adonner a des pratiques sexuelles sans engagement, l’interdit rend la chose excitante en quelque sorte. Même pour des gens de bonne famille. et le plan cul permet de sortir des sentiers battus et s’accorder une déviance sans pour autant se mettre en danger.
Ainsi les hommes et les femmes questionnées ont une vie tout à fait normale et sont même très engagés dans la société sans pour autant mener une vie très rangée quand la porte du domicile est fermée.
Mais il faut bien l’avouer, toutes les études faites sur les plans culs arrivent a des conclusions similaires. Les jeunes (entre 20 et 30 ans) adorent expérimenter.
Certains ou certaines cherchent à acquérir de l’expérience et ne pas s’engager. Pour les autres, après 30 ans, c’est la recherche de l’aventure qui les pousse a tenter l’expérience du plan cul, il est souvent synonyme de tromperie.
La notion du couple est en train de changer, avant on couchait 2 ou 3 fois avec quelqu’un, cela voulait dire que l’on sortait ensemble. De nos jours, les codes sont cassés. il y a un flou, on ne sait pas se positionner. On met en avant le plaisir, on recherche le plaisir dans les relations que nous avons aux autres. les plans culs se sont largement démocratisés et sont devenus désormais quelque chose de normal ! il n’y a plus de tabou.
Beaucoup disent que les tabous sont liés à la religion, c’est mal vu dans les communautés religieuses de s’adonner aux plaisirs de la chair sans engagement devant un Dieu. Mais notre société actuelle semble penser différemment.
Eh bien quoi qu’il en soit, religion ou pas, je me sens libre de rencontrer autant de filles que je veux, et les attirer dans mon lit si je le souhaite, et ça c’est grâce au site plan-q-secret.com :
Have fun !